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Sidi Aïch : Lycée Taos Amrouche Sortie pédagogique Les élèves a la recherche d’un passé lointain mais présent
Faire connaitre aux élèves leur culture et histoire en les accompagnants a travers les sentiers glorieux et en leurs faisant traverser les passerelles qui mènent vers le passé mielleux mais presque oublier de leurs aïeux. Cassé le mur de l’absurde et enjambé les obstacles psychologiques qui séparent et envenimés les relations entre les profs et les élèves au point d’en faire des belligérants. Tels étaient le but de la sortie pédagogique initier par un groupe de profs du lycée des jeunes filles « Taos Amrouche « de sidi Aïch, sous la bénédiction de la bibliothèque municipale d’el Flaye, au profit d’une soixantaine d’élèves composant les classes, 2SE1 Et 3MTGP, en ce samedi passé, une sortie qui les a menés en premier lieu a Ifri Aouzelaguen puis a Seddouk ouffela, autant dire une petite traversée dans le grand océan de notre histoire, sur les traces de Abbane, l’architecte de novembre et du congrée de la Soummam, en passant par quelques huileries traditionnelles d’ighzer Amokrane qui garde encore intacte des pans entiers de notre culture, et on terminant par un pèlerinage au mausolée du grand cheikh Aheddad.
L’expédition de ces chercheurs de racines, a commencé aux environs de 9 heures du matin au lycée Taos Amrouche ou deux bus mis gracieusement à leurs services par la municipalité d’el Flaye les Attendus. En effet accompagnées de leurs parents pour certains alors que d’autres étaient venue en bande ou en solo la bonne ambiance matinale annoncé déjà les couleurs de ce qui sera plus tard, une journée pas comme les autres.
Quelques minutes seulement après le départ en suffit pour que les lycéens oublier la rigidité de la réglementation de leur établissement et voir ce dissiper le lourd climat de leurs classes et ce libéraient des liens psychologiques qui les empêchent de s’exprimés devant leurs enseignants en donnant libre cours a leur émotions par des danses et chants pendant tout le trajet de sidi Aïch a Ifri.
Une fois au musée d’Ifri les élèves ont étaient divisés en deux groupes, alors que le premier était accompagné par un membre de l’association « Horizon » d’ighzer Amokrane, le seconde était quant a lui pris en charge par le directeur du musée. Il faut dire que durant plusieurs heures les mômes de Taos Amrouche ont es a confronté leurs connaissances théoriques a la réalité de l’histoire de leurs patrie ce qui leurs a données une vraie idée et une image réelle du combat de leurs aïeux pour le recouvrement de la dignité et de l’indépendance de notre pays.
De retour des hauteurs d’Ifri et sur leur route pour une autre grande station de notre histoire contemporaine qui est « SEDDOUK OUFFELA », la forte délégation a fait une halte a « IGHZER AMOKRANE », dans deux huileries semi-traditionnelles ou des explications sur toutes les phases de la fabrication de l’huile d’olives ont étaient aimablement fournis aux élèves par les deux propriétaires de ces fabriques qui gardent encore jalousement les odeurs du passé et perpétués les gestes transmis de père en fils et de génération en génération depuis la nuit de temps par les premiers berbères qui ont es a travailler ces terre, a en extraire leurs richesses et jouirent de leurs saveurs.
Cette halte était aussi l’occasion de faire un petit tour du coté de la très dynamique association « Horizon » et rencontré ces membres, dans un air de fête ou les élèves ont es droit a des boisons et gâteaux.
Après « IGHZER AMOKRANE » la prochaine destination était toute indiquée, c’était les terres du grand rebelle « CHEIK AHEDDAD », héros de l’insurrection de 1871. Une fois a « SEDDOUK OUFELLA », ou monsieur ALI Battache les attendaient, la grande famille de Taos Amrouche a eu à surfer sur les vagues d’une glorieuse histoire écrite en lettres d’or, de sang, souffrances et privations, mais dont les échos tend chaque jour et d’avantage vers la disparition.
A la fin de cette longue journée chargé d’histoire et d’émotions, la délégation prend la route du retour vers les countries d’AT Waghlis, sous la bénédiction et la baraka du cheik qui les accompagnées.
Sans risque de ce tromper on peu dire qu’aujourd’hui les lyciennes de Taos Amrouche ont dérogé aux règles de la grammaire et conjugaison, en sortant des sentiers battus et en imposant une nouvelle vision celle de conjugué le passé lointain au présent.
Arezki. Toufouti
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